Frida et son cocu, Miguel

Je tournai la clé dans la serrure de la porte, la poussa et pénétra à l'intérieur de notre domicile.

A peine entré, je vis Frida venir vers moi très peu vêtue.

"Tu as fais tout ce que je t'ai demandé ?" demanda-t-elle sur un ton sévère

"oui. Enfin preque, je n'ai pas pu mettre les photos de mon sexe sur l'annonce"

"Tu n'as pas voulu mettre les photos de ta petite queue sur l'annonce ....!"

"Ca a bugé. Impossible de les télécharger depuis mon portable"

"Ah ... Ok ! C'est comme ça ... installe toi sur le canapé. Je vais te montrer ce que c'est une grosse bite. Tu ne bouges pas, tu vas me regarder jouir avec une grosse queue, tu fermes ta gueule, je ne veux pas t'entendre, tu regardes seulement." Là dessus elle quitta la pièce pour monter à l'étage. Mon coeur cognait violemment dans ma cage thoracique. J'étais persuadé qu'elle allait descendre avec son premier amant. Je l'imaginais déjà grand, balèze et surtout très bien monté. J'avais peur d'être ridicule avec ma peite nouille, et en même temps j'étais excité comme jamais.

Elle redescendit moins d'une minute plus tard avec un gros gode noir que je lui avais offert quelques années auparavant. J'en fus soulagé et déçu à la fois.

"Fous toi à poil et branle toi en me regardant. Je t'interdis de jouir, sinon je te le fous dans le cul."

Je m'exécutai sans mot dire et le spectacle fut géant. Je vis ce vît couleur ébène s'enfoncer en elle jusqu'aux couilles et je me délectai de la farouche énergie qu'elle mettait à se donner du plaisir. Son cri, l'orgasme atteint, fut terrible. Je me dis que jamais je ne pourrais lui déclencher un tel orgasme.

"Tu vois, ma proie s'est dégonflée. Il n'est pas venu. Je suis terriblement frustrée et en colère. Je vais moi-même prendre en photo ta petite queue à côté de cette simili-queue de vrai mâle et ensuite tu as intérête à bander car je vais m'emaler sur toi. Et, comme d'habitude interdit de jouir sinon tu la prends dans le cul. Tu te finiras en te branlant".

Elle saisit l'appareil photo à proximité et immortalisa ma honte d'avoir un aussi petit sexe par rapport à ce gode qui me paraissait gigantesque. Elle posa l'appareil sur la table basse et me dit :

"Branle toi, je te veux dur ... enfin, le plus dur que tu peux. Tu seras mon sex toy pendant quelques minutes."

Je le fis et j'obtins une érection que je jugeai acceptable. Elle me rit au nez en me disant "t'as vraiment une petite bite, mais je n'ai pas mieux sous la main ... pour le moment. Et rappelle toi, interdit de jouir sinon ..."

Elle s'empala sur ma queue et l'utilisa comme un sex-toy pour jouir très rapidement. J'étais fier de l'avoir fait jouir. Elle se retira et me dit :

"Branle ta petite nouille et finis toi. Il ne devrait pas y en avoir pour longtemps. Et ne crois pas que tu m'as fait jouir, je n'ai cessé tout le long de penser à ma proie ratée. c'est lui qui m'a fait jouir pas ta petite bite"

J'éjacula sur ces mots ... moins de 10 secondes après qu'elle ce soit retirée.