Frida et son cocu, Miguel

De soir, de retour à la maison, je retrouve Frida, un magnifique sourire sur le visage :

"Alors ça t' a plu ?"

"Oui, c'était troublant, excvitant et trés humiliant. Et toi ça t'a plu ?"

"Moi ce qui me plaira c'est quand il me baisera avec sa grosse queue. Je suis vraiment en manque de grosse queue !"

La soirée se passe ensuite tranquillement. Je reste entièrement empreint des différents textos. Je mesure alors à quel point je trouve jouissif d'être traité de la sorte. Je suis pleinement heureux de nos avancées dans ce monde particulier du cuckolding. ça va vite, plus vite que je ne l'aurais pensé. Je sais que Frida y prend également un immense plaisir. J'entends de temps en temps son portable annoncer par un petit son l'arrivée de nouveaux textos. Elle les lit et sourit. Je sais que c'est lui et que je ne saurai pas ce qu'il lui dit car en tant que soumis je n'ai pas à le savoir. Ma fabuleuse Frida a maintenant un amant avec qui elle communique sans se cacher, devant moi. Il n'est que virtuel pour le moment, mais je sais qu'il va devenir trés bientôt réel, qu'il va la prendre, la posséder et qu'ils me mettront alors de côté tous les deux, ils m'écarteront car je ne suis pas un vrai mâle. C'est exquis.

Au moment d'aller nous coucher, je vois Frida prendre son téléphone. Une fois au lit, je suis excité par les événements de la journée et je me rapproche d'elle pour faire l'amour. Elle me saisit d'un coup par les cheveux et me dit les yeux dans les yeux :

"T'as pas saisi ? tu n'as pas le droit de me baiser. Ca c'est réservé aux grosses queues dorénavant. Pour toi c'est fini. Tu as juste le droit de me lécher et comme tu n'est pas trop doué dans ce domaine non plus, je vais appeler mon amant pendant que tu le fais, ça m'aidera à jouir."

En me tirant les cheveux elle place ma tête entre ses jambes et compose un numéro de téléphone :

"Maintenant lèche moi et applique toi. ... Allô, oui c'est moi. Je t'appelle pour t'annoncer qu'il a cherché à me baiser ... d'accord ..."

Je suis en train de la lécher quand elle me colle le téléphone sur l'oreille. J'entends pour la première fois la voix très grave et très virile de son amant :

"Dis donc, petite salope, je t'avais bien dit de ne pas la baiser ! et toi tu essaies, tu désobéis !? Alors voilà ta punition. Tu la lèches, tu la fais jouir. Tu ne te touches pas. Et quand elle aura bien joui. Tu te branles sur elle jusqu'à éjaculer ta petite purée ... Je supposes que ça va être trois gouttes vu ta petite bite. Et après tu lèches et avale ton propre sperme. Tu le fais de suite!"

Frida reprend le téléphone et commence une conversation avec lui sur leurs ébats futurs. Je l'écoute tout en la léchant lui dire qu'elle a hâte de le rencontrer, que se faire lécher par un soumis c'est bien mais que c'est quand même mieux d'en prendre une bien grosse profondément dans le cul. Je la sens vibrer sous ma langue et les paroles de son amant. Je l'entends parler de webcam puis me dire :

"Tu as gagné en désobéissant. Je vais aller chez lui toute seule. On va baiser comme des malades devant sa webcam et toi depuis la maison, tu regarderas ... sans te branler. Tu devras aussi mettre la cam pour qu'on puisse vérifier ... Maintenant finis moi"

J'active et précise mes coups de langue et je la sens et l'entends exploser de plaisir, le téléphone sur l'oreille. Elle lâche un grand "Ouiiiiiiiiiiiii". Je ne sais pas s'il m'est destiné ou à son amant. Elle me dit alors

"Vas y dépèche toi de te branler ton petit asticot et de cracher tes trois gouttes"

Je n'en peux plus d'excitation. Je me redresse entre ses jambes, saisis mon sexe entre mes doigts et éjacule, après deux rapides va et vient, trois longs jets de sperme sur son ventre.

  "Ouaouh. Mais c'est qu'il était excité notre petite salope. Il a presque lâché une purée de vrai mâle ... enfin quand même pas mais c'est pas mal pour une petite bite"

Elle me saisit par les cheveux et écrase mon visage sur mon propre sperme.

  "Maintenant lèche et nettoie moi. Ta misérable petite éjaculation me déshonore et me salit. Je veux être toute propre."

Elle remet son téléphone sur mon oreille. La voix de son amant me rappelle ma punition :

  "Tu lèches et tu avales. Tu avales tout. Maintenant."

Dégouté mais trés excité, je me suis exécuté, léchant et avalant mon propre sperme. Une fois bien propre, Frida m'a violemment tiré par les cheveux pour me coucher à côté d'elle et terminer sa conversation. Je la sentais radieuse, pas un regard sur moi, toute son attention portée vers la voix de son amant. Après quelques minutes, je lui entendit lui souhaiter une bonne nuit, d'une voix suave. Elle m'a mis une dernière fois le téléphone sur l'oreille en m'ordonnant de le remercier.

  "Merci"

"petite salope, n'oublie pas que tout ça n'est qu'un début. A très bientôt"

Frida a raccroché et s'est tourné sur le côté, dos à moi, elle a éteint la lumière et m'a dit :

  "Je ne veux pas t'entendre. Pas un mot. Je veux m'endormir sur le son de sa voix".

Trois minutés après, elle dormait me laissant à mon humiliante excitation.