Frida et son cocu, Miguel

Frida n'a pas pu rencontrer qui que ce soit Jeudi. Elle est revenue frustrée et en colère en me disant : "Demain, je m'en trouve une bien grosse".

Le soir je n'ai pas eu le droit de la toucher ... "M'emmerde pas avec ta petite bite, je ne fais pas dans le social"

Vendredi elle ne travaillait pas et avait pris RDV dans l'après-midi avec un amant potentiel. Elle m'a appelé au travail pour que j'aille voir la photo qu'il lui avait envoyé :

Puis elle m'a envoyé un texto en me disant qu'elle allait se faire défoncer devant-derrière par cette grosse queue, qu'elle allait tout filmer et qu'elle me montrerait à son retour.

Elle est partie et mon téléphone a sonné. C'était son amant qui m'a expliqué comment il allait bien la prendre comme une chienne. Il m'a dit qu'il savait que j'avais une petite bite et qu'elle allait prendre son pied comme jamais.

Je suis allé travailler en ne pensant qu'à ça, je n'arrivais pas à me concentrer. Au bout d'une heure trente j'ai reçu une photo sur mon portable avec ce mot :

"Elle mouille comme une chienne"

Plus tard, elle m'a appelé à nouveau frustrée car son amant avait été rappelé par son boulot et avait du partir avant même de la baiser. Elle m'a dit que ce n'était que partie remise, qu'il l'avait terriblement excitée et qu'elle en était encore toute mouillée. "Je lui ai caressé sa queue à travers son pantalon et je peux te dire qu'il bandait bien dur et qu'elle est trés grosse. Ses couilles sont énormes aussi. J'ai hâte de me faire baiser par un vrai mâle comme ça."

Elle m'a annoncé hier qu'elle avait déjà un autre RDV avec un autre homme dès Jeudi prochain.

L'attente sera longue, pour elle comme pour moi.

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Miguel, le cocu soumis de Frida

Aujourd'hui Frida a décidé de consulter mon blog. Après l'avoir lu, elle était très en colère et a exigé que je corrige un double oubli.

Le premier ajouter une photo d'elle. Ce que je fais immédiatement :

La seconde que je vous narre notre sortie en club le week-end dernier, ce que je ferai juste après vous avoir dit que Frida en colère a décidé de partir après avoir lu mon blog. Elle m'a dit qu'elle ne reviendrait peut-être pas cette nuit, qu'elle avait certainement mieux à faire un samedi que de rester à la maison avec une petite bite. Je ne sais pas où elle est allée, elle m'a demander de lui donner une poignée de préservatifs, ce que j'ai fait, et m'a dit qu'elle partait et que je serais informé en tant voulu de ce qu'elle allait faire cet après-midi. Elle a ajouté qu'elle ne manquerait pas de m'humilier si elle baisait avec un ou plusieurs autres hommes, qu'elle me ramènerait photos ou vidéos qu'elle me montrerait quand bon lui semblerait ... dans six moi seulement si elle le voulait. La dernière phrase qu'elle a prononcé avant de quitter la maison a été :

"Répare ton oubli"

Totalement absorbé par le démarrage sur les chapeaux de roues de notre nouvelle vie, j'ai totalement oublié de vous parler de notre sortie dans un club libertin où nous avons nos habitudes. Quand nous sommes arrivés vers 23H30 plusieurs couples et hommes étaient déjà présents. Nous avons bu un verre et elle m'a pris la main pour m'entraîner vers les coins calins. Arrivés en bas, trois hommes étaient afferés autour d'une jolie femme blonde. J'ai commencé par m'approcher et fut stoppé dans mon élan par la voix de Frida :

"N'y pense même pas petite bite. Laisse faire les vrais mâles"

A ces mots deux des trois hommes se sont retournés et nous ont invité à les rejoindre. Frida a foncé ...

"Toi tu t'assieds là et tu regardes. Et tu n'embêtes pas la dame" m'a-t-elle ordonné.

Je me suis assis et j'ai vu les deux hommes s'approcher immédiatement pendant que l'autre femme pratiquait une magnifique fellation au troisième homme. Ils ont commencé à la caresser de partout et à la déshabiller. Dans la pénombre, je voyais les mains de Frida se diriger vers leurs sexes que je ne distinguais pas. Elle s'est ensuite mise à genoux et a commencé à les sucer chacun leur tour. L'un des hommes était de taille moyenne et assez massif, 45 ans environ. L'autre était plus grand, plus svelte, environ 35 ans et les cheveux longs. Après quelques minutes ils ont relevé Frida et j'ai vu le plus petit enfiler un préservatif sur son sexe dont je n'arrivais pas à deviner la taille faute de lumière suffisante. Il l'a retourné, elle s'est agrippé à l'autre homme et la prise debout devant moi de manière très virile. Elle ne me regardait même pas et je voyais ses cheveux et ses seins agités par les coups de butoir du costaud. L'autre homme se décala un peu ce qui me permit de voir un sexe beaucoup plus long et plus gros que le mien. Il lui fourra dans la bouche. Rapidement, elle jouit une première fois. L'homme se retira et je vis le plus jeune enfiler à son tour un préservatif sur un sexe assez impressionnant. Il la retourna et elle reprit la même position qu'avant en s'agrippant sur le premier de ses partenaires. J'entends le jeune lui dire :

"Moi je commence par ton cul"

Il la prit d'une main par l'épaule et guida sa grosse bite entre ses fesses et commença à s'enfoncer. Frida lâcha un grand râle et tourna la tête vers moi :

"Oh putain, celle-là elle est bien grosse"

Il la lima, debout de longues minutes, sortit de son cul et  lui mit dans la chatte ... moins de trente secondes après, Frida jouissait à nouveau. Ils l'étendirent ensuite sur un matelas et la baisèrent chacun leur tour devant moi durant de longues minutes avant de lâcher d'abondantes éjaculations sur son ventre. Ils s'habillèrent, Frida en fit de même et nous remontâmes ensemble tous les 4.

Frida me dit "Ils m'ont bien fait jouir ces deux-là. Jamais tu n'arriveras à ça".

Plus tard dans la soirée nous redescendimes avec d'autres hommes mais nettement moins en forme et virils que les deux premiers.

Je pense que j'aurai bientôt de quoi alimenter ce blog.

Ensuite les messages se sont succédés :

"Tu pourras regarder de très près ma queue la baiser ... Nous servir ...Comme un bon soumis"

"Elle veut vraiment ma queue, le tienne est trop petite, elle me l'a envoyé en photo"

"Elle a très envie que je l'encule longtemps"

"Je vais bien baiser ta femme"

"Tu devras me remercier de la baiser ... là elle est toute excitée"

Après, je lui envoie un texto pour lui dire que je pars en réunion pour le travail.

Nouveau texto de lui :

"Et bien même en réunion tu dois savoir que je vais baiser longuement ta femme"

Puis texto de Frida :

"Même en réunion tu as l'obligation de lire et de répondre aux textos qui te seront envoyés"

Lui :

"Raconte moi ton fantasme le plus hard ...Avec ta femme et moi ... en tout lieu, toute situation ... sans retenue"

Je lui réponds que j'aimerais qu'il la baise longtemps et qu'il l'emmène ensuite chez des potes pour lui offrir un gang-bang. Sa réponse:

" On s'en fout de tes fantasmes. On fera ce qu'on veut et toi tu dois juste la fermer et obéir"

Dernier texto de la journée :

"Ce soir, interdit de prendre ta femme, ta queue ne la mérite pas ... Tu pourras juste la lécher. J'espère au moins que tu sais la faire jouir avec ta langue"

suite à venir

Antoine : "Alors elle te plaît ?"

Frida : "Oui, c'est vraiment ce que je recherche. J'étais en train d'expliquer à Miguel que c'était ça un vraie queue et pas le petit bout qui lui sert à pisser. Je lui ai dit que tu allais me baiser par tous les trous, qu'il pourra tout entendre mais rien voir"

Antoine : "Il t'est vraiment soumis ?"

Frida : "Oui, entièrement. Il fait ce que je lui demande de faire"

Antoine : "Moi aussi, je suis dominateur et j'aimerais aussi le soumettre"

Frida : "Pas de problème ... tu penses à quoi ?"

Antoine : "Je vais te baiser comme jamais tu ne l'as été. Il restera dans les excaliers. puis ensuite on l'appelera, il se mettra à genoux et il me sucera."

Frida, exaltée : "Alors ça c'est génial. Ca me plait. Tu pourras même avoir plus si tu veux"

Antoine : "Vrai ? alors je vais l'enculer et le démonter devant toi avec ma grosse queue ... c'est ça que tu veux ?"

Frida, les yeux brillants, me regarde, regarde ma petite queue, rigole et se epnche à nouveau sur le clavier : "Oui c'est ce que je veux. Tu vas le faire gueuler. Tu lui fouteras bien au fond. Qu'il ressente un peu ce que c'est une grosse queue. Et quand tu en auras fini avec lui, on le dégage, il va faire un tour, il va aux champignons, où il veut, mais il quitte la maison pour nous laisser finir entre nous"

Antoine : "Je crois qu'on va bien s'entendre toi et moi ... eh, p'tite bite, fous toi à quatre pattes devant la cam que je vois ton cul !"

Frida me regarde et m'ordonne de le faire. Je m'exécute, honteux. La honte ayant pris le pas sur l'excitation, je n'arrive même pas à bander. Pire encore je sens que mon sexe se rétracte. Je suis humilié et je sens que trés bientôt cette discussion va se transformer en réalité. J'ai peur.

Antoine : "Je vais lui démonter son cul et crois moi je ne vais pas faire dans la dentelle"

Frida : "Laisse moi ton numéro de tel. Je t'appelle dès qu'on a un créneau. tu viendras à la maison ... et plus tard on se reverra aussi mais que tous les deux, sans cette petite bite".

Antoine a donné son numéro, ils se sont dit au revoir et ont promis de recontacter prochainement. Elle a coupé l'ordi et m'a dit de monter me coucher. Elle m'a rejoint quelques minutes après, a sorti un gros gode noir (celui de la photo publiée récemment) et me la foutu dans le cul sans lubrifiant. Ca m'a fait mal mais elle a continué jusqu'à ce que je jouisse. Après elle s'est retournée et s'est endormie.

Je suis resté quelques minutes éveillé à me demander si tout ça était bien réel. J'ai alors pris conscience qu'elle avait promis mon cul à un homme, à un mec trés bien monté.

Aujourd'hui, je suis effrayé ... je sais que chaque jour me rapproche de mon dépucelage anal.

Ce matin, elle m'a dit qu'elle ne rentrait pas à midi. Qu'elle mangeait en ville et qu'elle en profiterait pour téléphoner à un des mecs qui a répondu à l'annonce passée sur le site. Et peut être plus .... Avant de partir, elle m'a dit que la rencontre avec Antoine ferait l'objet de prises de photos et/ou vidéo et que je devrai les mettre sur ce blog pour montrer à tout le monde comme je suis un réel cocu soumis.

Je ne la reverrai que ce soir ...